L’antilyrisme parlementaireGuizot, Tocqueville et Baudelaire (1830-1849)
Dupart (Dominique)
Pages 59 à 73
Romantisme, antiromantisme dans les débats parlementaires et littéraires de la deuxième République
Le Drezen (Bernard)
Pages 75 à 85
Antiromantisme, réalisme et modernité en 1855Courbet, L’Atelier du peintre et Baudelaire
Laforgue (Pierre)
Pages 87 à 103
Récurrences de l’antiromantisme royalisteDe Charles Maurras à la Société des Bonnes-Lettres
Degout (Bernard)
Pages 105 à 115
Antiromantisme et misogynie à la Belle Époque
Izquierdo (Patricia)
Pages 117 à 124
Maigret et le romantisme
Petitier (Paule)
Pages 125 à 139
L’antiromantisme en situation coloniale : le cas algérien
Laurent (Franck)
Pages 141 à 154
L’antiromantisme d’Albert Camus
Spiquel (Agnès)
Pages 155 à 171
Enchaînements dialectiques de l’histoireMarxisme et antiromantisme au temps de la guerre froide
Forget (Philippe)
Pages 173 à 186
Antiromantisme et subjectivation de la politique : Schmitt et Sartre
Knee (Philip)
Pages 187 à 200
« Une fois passée la fièvre romantique », Georges Bataille
Vivès (Vincent)
Pages 201 à 205
Index des auteurs cités
Pages 207 à 210
Présentation des contributeurs
Pages 211 à 212
Table des matières
Dans l'histoire du romantisme et de sa réception, questions politiques et questions esthétiques ont toujours été intriquées, voire confondues. Le fait est bien connu pour le romantisme, moins pour la longue et complexe histoire des procès qui lui ont été intentés. L'objet de ce volume est d'expliciter les enjeux politiques d'antiromantismes qui, d'un extrême à l'autre du spectre politique, ont fait du romantisme le nom des illusions à perdre, ou des mensonges à dénoncer.
Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques