L’une des scènes les plus insupportables de la tétralogie « guerrière » de Louis Dumur est assurément le viol de Mlle de Saint-Elme, dans Nach Paris ! Si cette scène marque bien une rupture dans le ton des romans dumuriens et trouve sa justification immédiate dans la volonté de dénoncer les atrocités allemandes en Belgique, elle n’en est pas moins l’héritière d’une série de scènes similaires qui placent le discours de Dumur au-delà des simples contingences politiques ou du contexte du moment
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