Résumé : Cet article illustre le dialogue entre la littérature et la peinture à travers l’exemple de Maeterlinck et de Khnopff, deux apôtres du symbolisme, passionnés par les images évocatrices et les interactions entre les deux arts. Leurs connivences littéraires et plastiques ne se limitent pas aux transpositions d’art et aux illustrations, mais elles peuvent également être révélées par des concordances entre l’œuvre de l’écrivain et les tableaux du peintre.