Résumé : Le plasticien David Clerc évoque son travail autour des poèmes de Jean-Claude Pirotte et la place de la peinture, du regard du peintre dans sa manière d’aborder l’écriture. Écrire, comme peindre, n’est-ce pas d’abord « oublier ce réel conventionné qui obture notre champ de vision », « inventer les brumes, les arbres, le passage de la lumière, de la pluie qui tombe et qui reflète » ?